
Une journée de rencontre entre les jeunes et les employeurs
Dans le cadre de l’opération Job d’été , la Province sud organise mercredi 11 octobre dans ses locaux à Port-Moselle une journée entièrement dédiée à la mise en relation de recruteurs et de jeunes en recherche d’une première expérience professionnelle. En 2022, près de 3 000 jeunes y avaient participé.
Quelques minutes pour convaincre
Cette rencontre, qui se déroulera sous la forme de courts échanges entre le candidat et l’employeur (job dating), est organisée conjointement par la direction provinciale de l’Emploi et du Logement (DEL) et l’espace Jeunes de la province Sud.
21 employeurs ou groupements d’employeurs pour 51 enseignes seront présents pour pourvoir 700 offres de stages rémunérés, dans les secteurs de l’industrie, l’hôtellerie, la restauration, le commerce, la grande distribution, le secteur bancaire ou encore les collectivités et organismes publics ou parapublics…
Les jeunes seront accompagnés pour leur inscription en ligne et la DEL proposera des conseils pour bien préparer leurs candidatures (CV, lettre de motivation, préparation aux entretiens)
En parallèle, deux ateliers de sensibilisation à destination de ce jeune public seront proposés au cours de la matinée ; ils porteront sur la prévention des risques professionnels, afin d’adopter les bons comportements en matière de santé et sécurité au travail.
Porté par l’espace jeunes de la province sud, le dispositif job d’été offre aux jeunes scolarisés entre 16 et 26 ans et résidant en province sud, un véritable tremplin pour acquérir l’été une première expérience professionnelle rémunérée dans l’une des entreprises partenaires
Les jobs d’été kesako ?
Permettre aux jeunes scolarisés de bénéficier d’un stage en entreprise durant la période de grandes vacances scolaires.
Pour le jeune c’est l’occasion de se préparer à l’entrée dans la vie active ; d’acquérir une expérience professionnelle qui lui permettra d’étoffer son CV et d’orienter éventuellement son parcours de formation personnelle et professionnelle ; et enfin d’obtenir une indemnisation financière, surtout la veille de la rentrée scolaire.
La rémunération :
Une indemnité mensuelle brute de 65% du salaire minimum garanti, versée au jeune pour 169 heures travaillées, soit 4 semaines de travail effectives.
La CCS, est déduite par l’employeur de l’indemnité due au jeune et est reversée à la CAFAT.
En fonction des capacités financières de l’entreprise, l’indemnité pourra être bonifiée d’une prime allant jusqu’à 100% du SMG. Le jeune sera affilié à la CAFAT pendant toute la durée de son contrat au titre des accidents du travail et des maladies professionnelles.